Transition vers le cloud : attentes et réalité

Étude d’impact sur le cloud d’Aptum, première partie : Combler les lacunes dans la transition vers le cloud

Conformément à notre engagement envers le soutien de nos clients tout au long de leur transition vers le cloud, nous avons commandé une étude afin de déceler les problèmes auxquels les décideurs informatiques sont confrontés dans leur déploiement du cloud. Intitulé Combler les lacunes dans la transition vers le cloud , le premier livre numérique de l’étude d’impact en quatre parties* d’Aptum sur le cloud se concentre sur les moteurs de l’adoption du cloud et les obstacles que rencontrent les entreprises durant les étapes de planification et de migration.

Décalage entre les attentes et la réalité

Notre étude révèle qu’il existe un décalage entre les avantages espérés du cloud computing et les résultats réellement constatés par les entreprises. Si près des trois quarts des entreprises interrogées (72 %) indiquent que l’amélioration de l’efficacité était l’une des raisons de l’adoption du cloud, seul le tiers (33 %) pense que la mise en œuvre a été une réussite totale. Par ailleurs, 56 % des entreprises affirment que l’un des principaux objectifs de l’adoption du cloud était d’améliorer leur agilité, mais là encore, seules 33 % déclarent y être parvenues avec le cloud.

Le monde étant au bord d’une récession générale, les entreprises vont chercher à optimiser leurs investissements dans le cloud et à profiter des avantages qui les ont initialement attirées vers cette option.

Qu’est-ce qui fait obstacle à la réussite ?

La complexité du cloud computing et le manque de spécialistes sont deux des principaux obstacles à la réussite du cloud au sein des entreprises. Pour 38 % d’entre elles, les problèmes de sécurité et de confidentialité des données sont le principal obstacle à l’adoption du cloud, suivis par la modernisation des applications existantes (35 %).

En effet, il est difficile de faire passer les architectures complexes comme la sécurité et les applications d’un modèle sur place à un modèle dans le cloud. Le remaniement des architectures existantes pour qu’elles fonctionnent en mode natif dans le cloud représente un travail considérable, d’autant plus que 66 % des entreprises admettent qu’elles utilisent le cloud computing à un niveau de base ou intermédiaire et que beaucoup d’entre elles ne parviennent pas à aller au-delà de simples solutions de type SaaS (logiciel en tant que service).

La pandémie de COVID-19 a confirmé l’importance du cloud pour la continuité et l’agilité des opérations, et les entreprises commencent à sentir qu’elles doivent accélérer leur adoption du cloud et exploiter ses avantages commerciaux. Ainsi, 69 % des entreprises souhaitent accélérer leur déploiement du cloud. Beaucoup reconnaissent toutefois qu’elles ont besoin d’aide pour y parvenir, 26 % ayant répondu que le manque de personnel compétent est un obstacle à leur transition vers le cloud.

Choisir le bon partenaire technologique

Pour faciliter la transition vers le cloud, il est crucial de choisir le bon partenaire technologique. Le recours à un partenaire expérimenté permet d’accélérer le déploiement du cloud et de rentabiliser les investissements. Chez Aptum, nous savons que la transition vers le cloud est un parcours différent pour tous, c’est pourquoi nous aidons les entreprises à dresser une feuille de route d’adoption du cloud selon leurs besoins individuels.

Pour télécharger le livre numérique, cliquez ici. Visitez notre page sur les Services cloud gérés pour découvrir comment Aptum peut vous aider à opérer votre transition vers le cloud et à optimiser vos investissements dans le cloud.

* Aptum a chargé la société d’études Vanson Bourne de mener une enquête auprès de 400 cadres aux États-Unis, au Canada et au Royaume-Uni. Ceux-ci comprenaient des chefs d’unité commerciale (58 %), des dirigeants (22 %) et des directeurs de service (21 %) appartenant à des secteurs tels que l’informatique, les services financiers, les services professionnels, la fabrication, la vente au détail et le secteur public. Ils faisaient partie d’entreprises de 500 employés et plus.